Par les temps actuels, c’est une multitude de produits aphrodisiaques que l’on retrouve sur le marché. Homme comme femmes, dans le contexte de se donner un plaisir mutuel et durable se livrent à la consommation de certains produits en vue de stimuler leurs performances sexuelles. Dès lors c’est la course aux produits pharmaceutiques tels que le viagra, ou encore ceux qui sont loin d’être des produits ayant trait à la médecine moderne tels que le gingembre, la noix de cola en passant par la noix de muscade, la moutarde ,l’ail, la menthe » le saf safal « ou encore « mbirr mi »cela étant,la question qui se pose est : les utilisateurs de ces produits aphrodisiaques ont-ils réellement conscience des méfaits de ces substances sur leur sante. En vue d’éclairer la lanterne de ces personne la, maféminité propose d’analyser en profondeur quelques produits aphrodisiaques.
Selon la croyance populaire, les aphrodisiaques auraient des pouvoirs en ce qui concerne la stimulation du désir sexuel de la performance ou encore de la virilité et d’émerveiller une relation amoureuse. Ainsi donc c’est la course vers les pharmacies pour l’achat du précieux viagra du sialis ou également du levitra sans parler des autres types de médicaments pour faciliter l’érection qui sont relativement nombreux sur le marché. Toutefois il est bon de savoir que le viagra est certes fait à cet usage, c’est à dire aider les personnes ayants des difficultés par rapport à l’éjaculation précoce. Cependant l’utilisation abusif du viagra peut être nocive a la santé de l’utilisateur et même conduire à la mort surtout lorsqu’on le prend que pour le fun.
L’érection est une fonction dynamique en perpétuel changement. Le sang arrive dans les corps caverneux et repart du pénis en contenu. Ce qui entraine donc une force de l’érection. Mais quand un homme prend un médicament l’érection est certes facilitée, elle vient aussi plus rapidement plus rigide cependant l’usage récréatif a tendance à changer les standards dans la tête de l’usager. A force d’utiliser des substances comme le viagra, l’usager s’attend à ce que ses performances au naturel soit équivalente, ce qui ne peut être le cas. L’homme ou la femme la jugera insuffisante alors qu’elle est tout simplement normale. De ce fait il est donc plus recommandé de faire confiance en ses propres capacités qu’autre chose.
En dehors de l’effet pharmaceutique cité en dessus, les plantes sont aussi utilisées à l’usage de produits aphrodisiaques. Certaines d’entre elles peuvent être dangereuses, il est donc conseiller de prendre l’avis d’un médecin avant de consommer certaines plantes ou produits affiliés, afin d’éviter les surdosages et les effets secondaires. Jetez un coup d’œil aux effets nocifs de ces différentes plantes, ou écorces.
La cantharide : peut provoquer une hémorragierénale.
La yohimbine : c’est un aphrodisiaque extrait de l’écorce d’un arbre africain, elle provoque un afflux de sang dans le pénis facilitant ainsi l’érection. Néanmoins sa permanente utilisation est toxique et à haute dose elle est contre indiquée en cas d’anomalie hépatique, d’insuffisance rénale ou d’hypertension.
La mandragore : elle ressemble à un phallus racine d’une plante des régions méditerranéennes et contiendrait en réalité de nombreuses substances toxiques et nuisibles à la santé.
La noix de muscade : elle peut provoquer des crampes et à forte dose une intoxication.
Le bois bandé : provenant de l’écorce d’un arbre antillais, et dont les effets vasodilatateurs n’ont jamais pu être démontrés, provoquerait aussi de nombreux effets secondaires. Pourtant l’on s’en sert parfois pour faire des encens.
Il est reconnu que l’utilisation occasionnelle de certains produits aphrodisiaques peut effectivement permettre d’accentuer le désir et aussi de mettre un peu de variété dans sa sexualité, néanmoins ils ne règlent pas les troubles rencontrés au cours des relations sexuelles. Au contraire elle ne fait que retarder leur prise en charge par un médecin. D’ailleurs certains d’entre eux pensent que ces produits n’ont aucune efficacité prouvée et que tout n’est que dans la psychologie de l’utilisateur. Alors mythe ou réellement stimulant ; une réponse loin de faire l’unanimité.
STG : AISSATA NDIAYE